La nuit en un silence mélodique
Déroule sa lente partition
Offrant mille et une variations
Autour de cette même rythmique
Qu'il recommence chaque soir
Emplissant son coeur d'espoir
Chaque instant, chaque seconde
Aussi longue que les rondes
Il savoure ce corps parcouru de frissons
A lui en faire perdre la raison
Des mots murmurés pianissimo
Tout en frôlant de la langue sa peau
Au fil des mesures et des pulsations
Le tempo s'accélère
Passant de croches en triolets
Ne lui laissant pour seule solution
Que ce désir, cette folle envie
Qu'éternelle devienne la nuit
Il la baisera jusqu'à l'aurore
Tant de fois, encore et encore
Lui montrant l'extase à sa portée
En goûtant sa peau nacrée
Mais toute mélodie a une fin
Et celle-ci finie chaque matin
Déroule sa lente partition
Offrant mille et une variations
Autour de cette même rythmique
Qu'il recommence chaque soir
Emplissant son coeur d'espoir
Chaque instant, chaque seconde
Aussi longue que les rondes
Il savoure ce corps parcouru de frissons
A lui en faire perdre la raison
Des mots murmurés pianissimo
Tout en frôlant de la langue sa peau
Au fil des mesures et des pulsations
Le tempo s'accélère
Passant de croches en triolets
Ne lui laissant pour seule solution
Que ce désir, cette folle envie
Qu'éternelle devienne la nuit
Il la baisera jusqu'à l'aurore
Tant de fois, encore et encore
Lui montrant l'extase à sa portée
En goûtant sa peau nacrée
Mais toute mélodie a une fin
Et celle-ci finie chaque matin